Nous avons montré qu’avec sa configuration birotor contrarotative déportée, le concept Dragonfly en fait un des ULM le plus écologique, le plus confortable, performant et le moins couteux à l’heure de vol au monde.
Voler en Dragonfly c’est voler (avec le parapente) de la manière la plus confortable, écologique et respectueuse pour l’environnement et pour autrui (bruit, odeurs..).
Cette page résume les avantages d’une configuration Dragonfly (libellule en Français) en quelques paragraphes et images par rapport à ce qui existe et à la concurrence.
Sommaire
1. Le concept de Dragonfly en vidéo de 1 minute
2. Dragonfly, c’est vraiment le meilleur paramoteur au monde ?
3. Le concept Dragonfly en 1 image
4. Les performances techniques en 3 lignes…
5. …et les caractéristiques des prototypes chiffres.
6. Dragonfly va profiter de l’évolution rapide des batteries
7. Dragonfly validé et autorisé par la DGAC
8. Participer à l’aventure Dragonfly en tant que partenaire, sponsor ou mécène ?
9. La Région Grand Est et la BPI ont fait confiance à Dragonfly
1. Le concept Dragonfly en 1 minute
2. Dragonfly, le meilleur paramoteur électrique au monde ?
Les prototypes actuels sont le fruit de milliers d’heures de travail réfléchis, d’un conception rigoureuse et surtout d’essais et de tests au sol et en l’air . Le hasard ou le bricolage, n’ont pas eu leur place dans l’aventure pour créer le paramoteur du futur.
Quand une conception, un essais ou un test ne donnait des résultats satisfaisants par rapport à notre cahier des charges, alors cette piste était écartée. On explique ceci en vidéo avec un résumé est ci-dessous :
Dragonfly est déjà, très probablement, le meilleur paramoteur électrique au monde sur les critères de performances énergétiques, de confort d’utilisation et de rapport autonomie/poids machine. Ceci est rendu possible uniquement par la conception bimoteur.
Encore mieux, des améliorations et optimisations sont encore possibles pour encore accroitre les performances actuelles…

Voler en Dragonfly c’est faire les décollages les plus rapides et les plus courts en paramoteur !
Avec un paramoteur Dragonfly vous décollez en quelques mètres du champ derrière chez vous, ou même de votre jardin (si assez grand et dégagé) avec un niveau sonore réduit et un confort de décollage jamais atteint avec un paramoteur !
Or, c’est au décollage que se produisent la plupart des incidents et casses matérielles. Voler avec Dragonfly c’est limiter ces risques.
3. Le concept Dragonfly en une image

4. Les performances techniques en 3 lignes…

La baisse de la consommation par rapport à un paramoteur électrique monomoteur est comprise entre 40 et 50%. Ceci signifie un facteur de gain sur le rendement machine d’environ 2.
Dans le domaine de l’aéronautique, un facteur d’amélioration de 2 est considéré comme une rupture technologique.
5…et les caractéristiques des prototypes chiffres.

Dragonfly a pour objectif de remplacer les paramoteurs thermiques*. Un Dragonfly de compétition de 10 à 15 minutes d’autonomie aurait une poussée max. de 75 à 80 kg et pèserait moins de 25kg...
* oui, rien que ça !

6. Dragonfly va profiter de l’évolution rapide des batteries
Les performances de Dragonfly sont déjà concurrentielles et ne vont que s’améliorer avec les progrès sur les batteries.
Les technologies de batteries évoluent aujourd’hui très vite et nous estimons que dans un futur proche (moins de 5 ans), il sera possible d’avoir un Dragonfly de moins de 20 kg garantissant une heure de vol à un pilote de 85 kg.
Finis les 30, 35 ou + de 40 kg à porter sur le dos et les genoux, les médecins du sport et kinés nous remercieront (ou pas…)
Vous travaillez dans le domaine des batteries de hautes performances ? Vous feriez un partenaire idéal de Dragonfly, contactez-nous
7. Dragonfly a été validé par la DGAC avec autorisation de vol démo
Pour conclure, il est important de préciser que les développements techniques actuels ont déjà été validés en janvier 2025 par la DGAC et le Ministère chargé des Transports avec l’obtention du « Permit to Fly DGAC » preuve du sérieux de Dragonfly.
En Avril 2025, Dragonfly a reçu son autorisation DGAC pour effectuer des vol démo devant public durant des meeting.

Dragonfly, c’est le paramoteur électrique qui devrait* devenir la référence du paramoteur dans le futur !
Participerez-vous à l’aventure ? (* dragonfly a tous les arguments techniques pour…)
8. Participer à l’aventure Dragonfly en tant que sponsor RSE, mécène ou partenaire industriel ?
Dragonfly a été présenté au public en 2023, il est déjà bien connu des acteurs français du paramoteur et de la Fédération Française d’ULM.
La FFPLUM a invité Dragonfly au Club France durant les Jeux Olympiques de Paris 2024.

Dragonfly est présent sur Youtube et sur les principaux réseaux sociaux.
Dragonfly vous intéresse ? Vous voulez contribuer aux derniers développements et donner une meilleure image environnementale à votre entreprise dans un contexte où la RSE prend de plus en plus de place ?
Nous vous offrons la possibilité de participer à une aventure aéronautique disruptive, écologique et originale via un sponsoring ou un mécénat d’entreprise…ou un partenariat industriel de développement plus classique.
Le but est de contribuer aux derniers développements, de mettre en place l’industrialisation et d’aboutir à la commercialisation. Lier l’image de votre entreprise à celle de Dragonfly, un pionnier du vol électrique décarboné et…performant !
Dragonfly a, jusqu’à présent, été développé avec des moyens réduits (lean startup) compte tenu du domaine aéronautique et a pourtant obtenu de, très bons, résultats. Le rendement d’un Dragonfly a été calculé par un chercheur de l’université de Paris Nanterre comme meilleur que l’eFan d’Airbus…
Intéressé(e) ? Vous pouvez nous contacter via ce formulaire ou via les réseaux sociaux
9. La Région Grand Est et la BPI ont déjà fait confiance à Dragonfly
Dragonfly a été soutenu, par des financements publics de la BPI et Région Grand Est.
Ces premiers financements ont servi à la mise au points des machines actuelles et aux premiers développements (la R&D, la communication, les premiers salons, la sécurité active…). On peut affirmer sans crainte, que ces fonds publics, à la vue des résultats aéronautiques obtenus, ont été extrêmement bien employés !
Comme pour tous les financements publics, une partie (aux environ de 50%) de fonds propres sont demandés, ce n’est donc pas la subvention pure et simple. Le porteur de projet doit mettre aussi la main au portefeuille….et la R&D aéronautique, cela coute cher !
Ces financements sont désormais épuisés et d’autres besoins seront nécessaires pour passer à l’étape de l’industrialisation et de la commercialisation.

